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Critique d'album

Lack


Be There Pulse


(01/05/2005 - - - Genre : Rock)
Produit par

1- Marathon Man / 2- 5 O'Clock in the Evening / 3- Primo Levi / 4- Deserters / 5- New American Centrury.org / 6- Soot, Smoke & Ash / 7- Disburden / 8- Simonix / 9- Ritornello / 10- The Gay Revolutions
Note de 5/5
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Note de 4.0/5 pour cet album
"Un album explosif pour un plaisir intense ..."
Lilian, le 01/06/2005
( mots)

Malgré un premier effort très bien accueilli par la presse, il aura fallu presque quatre années pour que Lack nous offre son nouvel album. Et quel album ! Si leur premier opus sentait bon le hardcore, celui-ci alterne avec justesse des moments d'émotions et d'autres tout en puissance. De quoi laisser penser que ces quatre années leur ont permis d'effectuer un grand virage et de se révéler sous un autre style tout aussi efficace et pourtant tellement plus facile d'accès. Le quatuor danois pratique désormais un rock indé où les mots sont audibles sans que la rage ne soit oubliée.

L'aventure commence par un lavage de cerveau. Morceau entêtant au chant presque criard sur fond des guitares saturées, "Marathon Man" impose sans prétention le nouveau style de Lack, mais sans pour autant atteindre l'émotion générale que dégage ce deuxième volet. Un enchaînement presque imperceptible et les choses sérieuses commencent vraiment. Lack aime faire monter la pression avec des sons oppressants et un gars qui vous engueule presque, avec comme seul soutient 2-3 accords, avant de tout lâcher sur un "refrain" explosif ("5'o'clock In The Evening", "Deserters", "Soot, Smoke and Ash", ...). Heureusement pour les âmes sensible, certains titres sont moins lourds comme l'excellent "Primo Levi" et son chant plus en retrait et moins dur, ou encore "The Gay Revolutions" et sa mélodie fortement sympathique. Le prix de l'étrangeté revient à "Simonix", sorte d'intrus très sombre et très calme qui dénote vraiment du reste tout en restant un morceau agréable et même peut-être bienvenu pour relâcher la soupape.

Emotions, rage et chant à la limite du hardcore. Tout ça n'est pas sans rappeler les excellents Hell Is For Heroes. En tout cas le plaisir et la qualité sont égaux et les deux se retrouvent maintenant côte à côte en haut de ma pile de cd comme dignes représentants d'une scène post-hardcore qui promet un bel avenir à nos petites oreilles.

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