↓ MENU
Accueil
Première écoute
Albums
Concerts
Cinéma
DVD
Livres
Dossiers
Interviews
Festivals
Actualités
Médias
Agenda concerts
Sorties d'albums
The Wall
Sélection
Photos
Webcasts
Chroniques § Dossiers § Infos § Bonus
X

Newsletter Albumrock


Restez informé des dernières publications, inscrivez-vous à notre newsletter bimensuelle.
Critique d'album

Manöx


Dog only knows


(02/06/2006 - Növalis Impulse - Electro-Pop - Genre : Autres)
Produit par

1- Thick some / 2- It Rarely Rains Here / 3- I Can't resurf Ace whitout you / 4- Dog only Knows / 5- Hush-Hush Daisy / 6- Lesbian Sisters / 7- Charly Sun / 8- Pink Pong in the Garden / 9- Starlight train Station / 10- Have you quite finished? / 11- Sparks will fly
Note de 3/5
Vous aussi, notez cet album ! (9 votes)
Consultez le barème de la colonne de droite et donnez votre note à cet album
Note de 3.0/5 pour cet album
"Manöx et son projet éponyme nous envoie un petit OVNI musicale. Troublant."
Pierig, le 21/12/2006
( mots)

Installé en terre alsacienne, l’amalgame Manöx prend forme sous l’impulsion de la clique Növalis Impulse (à qui l’on doit The Spangles ) et, complice de toujours, Lily Water (au chant). Innovant en tout point, il nous délivre une quête musicale inédite, un "pop-cluedo" (sans le colonel moutarde). En effet, l’identification du coupable passera par l’élucidation de 3 indices dissimulés parmi les 11 titres. Actuel, Dog only know est un tout, un amas de référence entre la guitare d’Arcade Fire et les mélodies d’un Tara King Th. Il le faut, jetons nous dans ce monde insaisissable.

Efficace et entraînante, "It rarely rains here" ouvre de manière convenue ce thriller pop. La suite, plus imaginative nous envoie une douce claque avec la découverte de l’unique témoin du crime, "Dog only know". Une instrumentation "au poil", un croisement habile entre la voix frétillante du strasbourgeois et celle, plus légère, de Lily. "Have you quite finished ?", "Charly Sun" restent les titres les plus aboutis tendant vers des mélodies "Air-iène" associées à un vrai toucher pop, sans tomber dans la platitude. Tentative réussie avec "Starlight train Station". Performance remarquée des cuivres apportant souplesse et fantaisie aux 11 titres.

On retrouve cependant des ratés malheureux, notamment avec "Lesbian sisters". Rythme plat, voix discordantes, reflétant un manque de maîtrise technique parfois flagrant. Malgré une originalité toute trouvée, l’analogie avec la "pop-electro" d’aujourd’hui relaie au second rang Manöx face à des collectifs comme Mogwaï ou Broken Social Scene plus talentueux. Dispersée et perdue dans des styles parfois trop peu maîtrisés ("Pink pong in the Garden"), la contrepartie de ce pelle-mêle est amère.

On retrouve donc bien la touche Növalis Impulse avec un CD singulier, déconcertant et surtout inimitable, faisant de Manöx un groupe bohème réclamant d'être découvert en attendant leurs futures facéties.

Commentaires
Soyez le premier à réagir à cette publication !