↓ MENU
Accueil
Première écoute
Albums
Concerts
Cinéma
DVD
Livres
Dossiers
Interviews
Festivals
Actualités
Médias
Agenda concerts
Sorties d'albums
The Wall
Sélection
Photos
Webcasts
Chroniques § Dossiers § Infos § Bonus
X

Newsletter Albumrock


Restez informé des dernières publications, inscrivez-vous à notre newsletter bimensuelle.
Critique d'album

Turbonegro


RockNRoll Machine


(02/02/2018 - Burger Records - Deathpunk Norvégien - Genre : Rock)
Produit par

Note de 4.5/5
Vous aussi, notez cet album ! (7 votes)
Consultez le barème de la colonne de droite et donnez votre note à cet album
Note de 3.0/5 pour cet album
"Turbonegro sort un nouvel album après cinq ans de silence."
Rudy, le 14/02/2018
( mots)

20ans jours pour jours après la sortie de leur album culte Apocalypse
Dudes, Turbonegro sort un nouvel album après cinq ans de silence.

Le premier single: "RockNRoll Machine", est clairement un hommage à
AC/DC, avec le riff bluesy graisseux d'Euroboy, et le gimmick aux
choeurs rappelant le « oil ! oil ! » de "TNT". Mais attention, tous ceux qui se sont essayé au tourne-main des frères Young se sont retrouvés avec les doigts engourdis, et les Norvégiens ne font pas vraiment exception à la règle, même si le titre est assez sympa. Mais pas de panique, les hymnes à claironner au pub la chope à la main sont bien présents.

Les paroles du chanteur The Duke Of Nothing (Tony Sylvester), entrecoupées des Woo ho ho typiques du groupe, sont encore une fois basées sur l’humour potache (Hurry up and die/Depêche toi et meurt. You think you’re tough, starting riots on your phone/Tu te crois costaud, à démarrer des émeutes sur ton téléphone.) Ou la prononciation marrante de "nichon" dans la phrase a capella en ouverture de "Special Education" suivie du refrain (show me how to fuck, show me how to rock...) font toujours autant plaisir aux fans de la première heure.

Les quelques passages de synthé vintage, style BO italienne des 70’s, sonnent un peu comme si Giorgio Moroder avait travaillé avec Europe… (notamment pour le morceau "Skinhead Rock’n’Roll") et nous les devons au dernier membre à avoir rejoint les norvégiens: Prince Haakon-Marius.
Le groupe enfonce le clou avec une power ballade digne des plus chevelus des groupes hard-FM en latex des années 80, même appelée "John Carpenter power ballad" histoire de rigoler, bah ça reste une power ballad des 80’s…

Turbonegro n’a rien perdu de sa grandiloquence, et retrouve des hymnes de party rock qui ont fait sa renommée, de quoi ravir la TurboJugend du monde entier.

Deux concerts du groupe sont annoncés en France: au Download Festival le 16 juin et au Hellfest (24 juin)

http://turbonegro.com/

Commentaires
Soyez le premier à réagir à cette publication !