↓ MENU
Accueil
Première écoute
Albums
Concerts
Cinéma
DVD
Livres
Dossiers
Interviews
Festivals
Actualités
Médias
Agenda concerts
Sorties d'albums
The Wall
Sélection
Photos
Webcasts
Chroniques § Dossiers § Infos § Bonus
X

Newsletter Albumrock


Restez informé des dernières publications, inscrivez-vous à notre newsletter bimensuelle.

FuryFest 2005


Hélène, le 01/07/2005

Dimanche 26 juin

Nuit agitée au camping. Joutes verbales à base de "Leerdaaaaaammmer", "cordier juuuuuge et fliiiiiics"...Cortège impressionnant suivant un p'tit mec et son poste diffusant de la dance. Ils finissent par désosser les sanitaires, Abraracourcis sur les portes, frisbee avec les cuvettes, canalisations transformées en fontaines... Le réveil est donc tardif. On a loupé Furia, Ultravomit...d'autres te le raconteront. On arrive à la 2è moitié d'US Bombs. Un nom à retenir pour ce que j'en ai vu. Mastodon, je sais plus. 25TaLife, toujours dans la gamme hardcore new-yorkais. En CD j'ai vraiment du mal avec le chant s'approchant trop du cri des colverts briérons. Mais en concert, et ben ça envoie du gros. Un petit bout de SoilWork et je raccompagne un pote, loupant ainsi Black Bomb A, ce qui me met un peu la mort. In Flames, plus de souvenirs. Napalm Death, définitivement trop grind, j'accorche pas et je loupe merauder. Encore heureux, après c'est Obituary, concert bien violent. Mais avec la fatigue, l'overdose nous guette. Libérez les frites !!! On reçoit une petite compli Overcome en passant, ça fait toujours plaisir. A moitié morts et affamés, on laisse passer Sunno))), Dimmu Borgir, et finalement on se ressaisie pour Envy, un groupe japonais dont tout le monde parle. Mon pote photographe les a suivi pendant le fury, http://www.tpip.org, apparemment, ils sont super gentils. Mais ça passe pas. Structure répétitive, trop d'émotions, de mélancolie, de monde dans la salle... j'y arrive pas. Enfin c'est mon avis, le mieux est que tu ailles te faire ta propre opinion. Retour au rock n'roll avec Motörhead. On les écoute de dehors, posés, en jetant un oeil de temps en temps. Ca pète. Après tout ce repos, je vais me défouler sur Pennywise, punk-rock californien qui me fait bien marrer. Je passe un très bon moment ! Les autres étaient à Amon Amarth, à voir apparemment. Et enfin le final du final, Slayer ! C'est dur de se trouver une bonne place tellement il y a de monde. Pourtant Slayer c'est un groupe à voir vraiment (1m60 bonjour) tant ils sont techniques. D'un coté les guitaristes et leurs mains qui volent sur les manches pointus pointus, de l'autre le batteur, les bras elvés, qui tient la mesure à la double pendant 20 minutes. Il faudra franchir le cap des écrans géants pour les prochains shows comme ça. En un mot, "surhumain", et un bien meilleur final que l'année dernière.
Commentaires
Soyez le premier à réagir à cette publication !