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Critique d'album

Orson


Bright Idea


(26/06/2006 - Mercury - Power Pop - Genre : Pop Rock)
Produit par

1- Bright Idea / 2- No Tomorrow / 3- Happiness / 4- Already Over / 5- Downtown / 6- Tryin To Help / 7- So Ahead Of Me / 8- Last Night / 9- Look Around / 10- Save The World
Note de 2/5
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Note de 2.5/5 pour cet album
""Meilleur nouveau groupe 2006", "N°1 en Angleterre".... Que d'éloges !"
Jerome, le 24/07/2006
( mots)

Créé en l’an 2000 autour du chanteur Jason Pebworth et du guitariste George Astasio, Orson, groupe venu de la ville au nom de chewing-gum, propose une musique qualifiée par eux-mêmes de power-pop à deux guitares. Mais le problème avec ces groupes estampillés "N°1 en Angleterre", c'est qu'on ne sait en fait jamais trop à quoi s'attendre. Et Orson ne déroge pas à la règle. Avec un premier single "No Tomorrow" sous forme de matraquage d'ondes (single de la semaine de iTunes, le plus téléchargé à ce jour), on peut se demander ce que ces nouvelles coqueluches hollywoodiennes ont d'autre à nous proposer avec ce Bright Idea.
Cet opus commence d'emblée avec le titre éponyme de l'album et ne laisse pas le temps à l'auditeur de se rassoire. Avec sa section rythmique des plus valable, on se retrouve directement avec les cheveux qui se mettent à se balancer tout seul et le reste du corps qui ne demande qu'à faire de même. La production est somme toute assez énorme et chaque instrument trouve sans problème sa place au côté de la voix de Jason. Et ce n'est pas "No Tomorrow", tube en puissance largement diffusé, qui nous couperait cette envie de nous secouer. Mis à part le fait qu'on l'entende quinze fois par jour, il faut bien admettre que ce morceau racontant les derniers moments du chanteur avec une de ses ex. est diablement efficace. Même recettes, même punitions pour les titres qui suivent, à savoir "Happiness" et ses pré-refrains aux arrangements rappelant notre bon vieux Barry White, et "Downtown" accompagné de ses chœurs façon Queen.
Malheureusement, arrivé à la moitié de l'album, on sent une légère baisse d'intensité et de peps. Non pas que les morceaux soient mauvais, loin de là, mais peut être un peu moins entraînants que leurs prédécesseurs. Certains réussissent quand même à tirer largement leur épingle du jeu, à l'image de "Save The World" ou "Last Night". Malgré cela, l'ensemble reste agréable à l'écoute, excepté "Look Around", beaucoup trop sirupeux pour envisager un quelconque déhanché.
Tout ça pour dire qu'avec son album taillé pour l’été (qui a dit "et pour MTV" ?...), Orson nous propose donc un disque intéressant et rafraîchissant comme une glace par le soleil qui court. Avec juste ce qu'il faut pour oser en redemander une fois digérée. Pari réussi pour ces cinq garçons, qui voulaient faire du rock où les nanas pouvaient danser. Avec sa petite touche de R'nB, ses riffs bien punchy et une voix agréable aux oreilles, cette petite galette à tout pour vous accompagner durant vos trajets à la plage.

Au fait, pour la petite histoire, Orson vient, vous vous en doutez, du célèbre Orson Welles. Mais pas directement du personnage en lui-même, plutôt d'un sandwich vendu dans une petite cafétéria (tirant, elle, son nom de l'acteur / réalisateur) et qui aurait donné cette idée de nom à Jason. D'après la légende, on dirait même que le sandwich serait au gouda et aux légumes macérés dans du vinaigre mais qu'aucun des membres n'y aurait jamais goûté...

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