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Fête de l'Humanité 2003


Lilian, le 21/09/2003

Killkenny


Vendredi, 18 h 30, on arrive juste à temps pour le concert de Killkenny, groupe dont j'avais vaguement entendu parler dans la presse écrite, qu'on entend déjà au loin. Car pour accéder à la grande scène, il faut d'abord traverser tout le site, dans des avenues de stands encore en préparation. On en fait des kilomètres ! A l'arrivée devant la grande scène, on remarque quand même que le public n'a pas encore envahi les lieux. A peine une centaine de badauds on fait l'effort d'aller rejoindre le groupe en exercice au pied d'une grande scène auw sponsors étranges. RTL, c’est plutôt habituelle, mais alors TF1, on se pose un tas de questions, qu'elles soient politiques ou éthiques. En tout cas la scène est équipée d’un impressionnant dispositif vidéo. Ah, peut-être une réponse !



Même si on a raté le début, on est vite mis dans le bain par la musique enjouée et très accessible de Killkenny. Les membres sont jeunes et plutôt décontractés (en tout cas ils en donnent l’air), et s'exécutent d'une manière très professionnelle. A les voir jouer, on ne croirait pas avoir à faire à un groupe encore inconnu.


Ça chante bien, ça joue bien, le constat est vite fait : heureusement qu'on est arrivé à temps, car c'est très bon !
N'en déplaise au puriste d'un certain Rock Français, à l'instar de Dead Pop Club ou d’autre Syd Matters, Killkenny nous dévoile un set totalement en anglais et plutôt diversifié. Tantôt gonflé aux rythmes Punk ou aux riffs hard, tantôt assagi vers une pop moins éprouvante ou encore égayé par quelques accords de ska. Le combo ne donne pas pour autant l'air de se chercher une identité, mais plus d'avoir opté pour un style plus flou, et donc plus libre, pour mieux s'éclater sûrement, et ne pas s'enfermer dans de jolies étiquettes.


Même si le public ne répond pas à ce concert venu trop tôt dans le programme, les quelques personnes qui sont là ont pris goût à leur musique et en redemande. Le jeune groupe provençal y va donc de son rappel, d’une chanson baptisée "Don’t forget" pour conclure un show prometteur.
Gros coup au moral, quelques secondes après ce premier concert, on nous apprend que Dionysos ne sera pas de la fête, Mathias ayant rencontré de gros soucis personnels la veille de l’événement. On pense d’abord à lui naturellement !


Du coup, avec un concert de moins, le speaker attitré de la grande scène nous annonce que les autres concerts seront plus longs. Blankass passe alors en tête d’affiche.

Un petit détour par le stand marketing des groupes pour acheter l’album de Killkenny. Quelques discussions avec un proche du groupe, et voilà que je manque le début de Dolly. Décidemment, les débuts !
En savoir plus sur Blankass, Dolly,
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