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Les Top 10 des vacances : #96 Cirith Ungol


François, le 07/07/2023

Nouvelle série d’été durant laquelle un rédacteur vous propose de découvrir ou de réviser un groupe plus ou moins culte en dix titres. Vous aurez droit à une sélection représentative qui vise à mettre en avant des morceaux par rapport à leur place dans le répertoire du groupe, sans toutefois renoncer à la subjectivité avec des choix parfois plus inattendus. Aujourd’hui, l’un des groupes les plus cultes du Metal épique underground des 1980’s, Cirith Ungol.

 

10- "Better off Dead", Frost and Fire – 1981. Une basse groovy légèrement fausse et s’envole le très 1970’s "Better of Dead", presque glam-rock dans l’approche si le rendu n’était pas aussi artisanal et rugueux.

 

9- "Black Machine", King of the Dead – 1984. Peut-être le morceau le plus représentatif de l’esthétique du groupe, on y retrouve les éléments du premier opus avec une progression dans la composition et l’interprétation.

 

8- "War Eternal", One Foot in Hell – 1986. Extrait de l’album le plus faible du combo, ce titre a le mérite de proposer du Power-Metal énergique à la Running Wild, et ce avec talent.

 

7- "Brutish Manchild", Half Past Human – 2021. Il est dommage que cet EP quatre titres, composé d’archives issues des débuts du groupe, réenregistrées et bénéficiant production moderne, soit passé sous les radars. En effet, on y trouve des titres de très belle facture comme "Brutish Manchild", un peu à la "Frost and Fire", ou l’excellent "Half Past Human", une pièce épique et très bien composée.

 

6- "King of the Dead", King of the Dead – 1984. Souvent considéré comme le meilleur opus du groupe, King of the Dead doit beaucoup à ses pièces à la fois doom et épique comme "King of the Dead". Disposant de belles lignes mélodiques mais d’un son caverneux, toujours à mi-chemin entre deux décennies, il s’agit d’une des premières épopées du combo.

 

5- "Fractus Promissum", Forever Black - 2020. Ceux qui ont cru que Cirith Ungol était du passé se sont trompés. On assiste non seulement à son retour en grâce à la faveur du regain d’engouement pour la scène underground des 1980’s, mais également à la parution de nouvelles compositions remarquables : de nombreux titres mériteraient leur place dans ce classement, mais on vous a réservé le meilleur d’entre eux.

 

4- "Finger of Scorn", King of the Dead – 1984. La pièce-phare de l’album, au moins pour sa longueur, qui s’ouvre sur de très beaux arpèges parfaitement harmonisés et prouve ensuite la finesse du groupe malgré son côté foncièrement amateur.

 

3- "Paradise Lost", Paradise Lost – 1991. La suite épique en trois mouvements, qui conclut l’excellent Paradise Lost, est selon moi (et selon le groupe également) le sommet de leur carrière - et de loin. Certes, on perd le côté artisanal des albums précédents, mais la composition est tout bonnement incroyable. La cavalcade finale est rendue épique par ses effets bien sentis et met ainsi fin à cette épopée glorieuse.

 

2- "Fallen Idols", Paradise Lost – 1991. Le deuxième acte de cette suite est un mid-tempo lancinant avec un thème fédérateur, comme s’il fallait poursuivre l’aventure de façon solennelle – émouvant.

 

1- "Chaos Rising", Paradise Lost – 1991. Finissons par la première partie de cette œuvre fleuve d’une richesse insondable avec des riffs aussi puissants qu’incroyables. Cirith Ungol s’y montre plus proche d’Iron Maiden ou de Fates Warning, mais ne perd pas son identité en effectuant cette mue.  

 

 

Playlist toutes plateformes.

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