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Critique d'album

Nine Inch Nails


And All That Could Have Been


(05/02/2002 - Nothing - Métal Indu - Genre : Hard / Métal)
Produit par

1- Terrible Lie / 2- Sin / 3- March of the Pigs / 4- Piggy / 5- The Wretched / 6- Gave Up / 7- The Great Below / 8- The Mark Has Been Made / 9- Wish / 10- Suck / 11- The Frail / 12- Closer / 13- Head Like A Hole / 14- The Day The World Went Away / 15- Starfucker Inc. / 16- Hurt / 1- Something I Can Never Have / 2- A Drift And At Peace / 3- The Fragile / 4- The Becoming / 5- Gone, Still / 6- The Day The World Went Away / 7- And All That Could Have Been / 8- The Persistence Of Loss / 9- Leaving Hope
Note de 5/5
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Note de 4.5/5 pour cet album
"Enfin un live des fascinants Nine Inch Nails !"
Toutoun, le 03/01/2004
( mots)

Disque 1 : And all that could have been [halo 17, part 1], le live.

Véritable professionel du studio et de la peaufinication de ses productions, il aura fallu près de 13 années et 16 productions pour que Trent Reznor ose (enfin) nous faire goûter les joies et la magie d'un live de Nine Inch Nails, sans conteste un des groupes les plus fascinants et innovants des années 90.

Car ici on ne parlera que de magie, celle qui, incarcérée dans l'esprit torturé de Trent, nous fait vibrer depuis 1989, date du premier album Pretty hate Machine.

Et c'est à leurs premiers prémices que le groupe nous dédie le premier quart de son live. "Terrible Lie" et "Sin" sont ici animés d'une quintessence violente et froide que l'on aurait pu imaginer. Toute la puissance de Trent nous livre un "March of the Pigs" tout simplement détonnant et les deux morceaux qui le suivent ("Piggy" et "The Frail") ne font que de nous mettre sur le cul de part le virage à 90° que prend maintenant comme tournure la musique du quintet : lente, sereine, lourde, glauque. "Gave Up" remet les pendules à l'heure en imaginant, jalousement, les pogos s'enchainer lors du concert.

Les esprits se calment et Trent prend maintenant sa voix la plus magique pour nous livrer "The Great Below" magnifique, où les violons synthétisés prennent place aux milieux de basses claquantes es slappantes.

Mais le groupe n'en oublie pas pour autant les tubesques "Wish", "Suck" et "Closer" où les amateurs reconnaîtront facilement les délires pervertis et noirs de la démence de Trent ainsi que sur le "Starfucker Inc.", très porté sur le rejet du système.
"Hurt" et "The Day The World Went Away" sèment la fin et créent un malaise définitif, et seul le réécouter peut nous permettre de nous soulager.

Ce live est une pièce maîtresse de l'oeuvre de Trent Reznor avec Nine Inch Nails et il arrive à nous faire partager d'une remaquable façon l'évolution de sa musique qui sera définitevement marqués des superlatifs violent, glauques, mais aussi lourds, harmonieux et surtout sereinement posé.

Disque 2 : Still [halo 17, part 2]

Seulement présent sur la version collector, ce CD ne contient que des versions épurées et déconstruites de morceaux déjà existants (malgré quand même la présence de 5 inédits). Ici, la voix sereine de Trent Reznor n'est accompagnée que d'un piano et de quelques instruments la plupart du temps accoustiques.
Si la musique de NIN peut être considérée (et à raison !) comme un véritable brouillon musicale, où les effets se comptent par dizaines et le sentiment de grésillement omniprésent, elle n'est ici que clarté et n'est écorché que par la voix sourde de Trent.
Ce disque est véritablement à posséder par tous, fan de NIN ou pas. Sa musique dérive lentement vers une descente aux enfers que seule la maniaquerie pour la perfection de Trent peut arrêter. Le meilleur album de remix jamais créé, c'est tout ce que l'on pourra retenir de ce CD, NIN a su inventer la meilleur musique, il ne nous reste donc plus que le pire...

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