The Cure
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Introduction
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- Historique: retour sur l'épopée The Cure
- L'esthétique The Cure: du maquillage, mais pas seulement !
- Three Imaginary Boys (1979)
- Seventeen Seconds (1980)
- Faith (1981)
- Pornography (1982)
- The head on the door (1985)
- Disintegration (1989)
- Bloodflowers (2000)
- 4:13 Dream (2008)
- Live Report: les Cure à Paris le 15 November 2016
L'esthétique The Cure: du maquillage, mais pas seulement !
L'origine
En 1978, l’esthétique punk initiée par Vivienne Westwood est vue et revue, tellement utilisée à des fins mercantiles qu’elle se retrouve cloisonnée et caricaturée à des lieues de son idéal de départ qui était de faire sauter les cadres, les normes et les tabous divers.
La plupart des artistes du mouvement se tournent à nouveau vers leur histoire pour inventer une nouvelle esthétique qui naîtra de l’alliance d’influences diverses, passées et présentes. Au terrorisme culturel punk mis en échec par le manque d’implication de ses guerriers, la new wave oppose un ton plus léger mais tout aussi militant.
Le contexte
Pour bien saisir la direction prise par bon nombre d’artistes catalogués new wave, il faut rappeler que rien dans la situation internationale de cette fin des 70’s n’invite à l’optimisme et à la gaudriole. On est en pleine guerre froide, l’URSS envahit l’Afghanistan, les groupes terroristes irlandais, palestiniens, italiens et allemands frappent un peu partout. Le nucléaire fait peur avec l’incident de la centrale de Three-Mile Island aux USA.
La définition
La new wave n’a pas peur d’afficher ses lettres là où les punks faisaient semblant de ne rien connaître à l’art et à la musique. Les artistes révèlent la noirceur du monde et la mélancolie à travers leur apparence.
La conclusion
Comme pour le punk, le spectacle est dans la salle. Toute une micro société goth est animée par les fans. Salles, associations, labels, fanzines, boutiques de fringues, disquaires, librairies, discothèques et bars sont pris en mains par des goths. Une économie souterraine et parallèle se met en place. Plus que les groupes eux-mêmes ce sont les fans qui décident de qui est « goth » ou pas. C’est la raison pour laquelle beaucoup de groupes comme The Cure ou Bauhaus ont toujours refusé cette étiquette qu’on leur avait collé.
Benoît